Très heureux d’avoir pu participer au dîner parlementaire de l’Union Nationale Interprofessionnelle Cidricole (UNICID) afin d’aborder le sujet du cidre à l’échelle française et européenne.
Elément incontournable de notre gastronomie, le cidre français présente la singularité d’être 100% pommes, ce qui signifie qu’aucun ajout de sucre exogène n’est autorisé.
A travers ce temps d’échange, j’ai pu constater que l’Union européenne envisageait à terme, de mettre en place des normes de commercialisation afin de proposer une nouvelle qualification du cidre aux alentours de 50% de teneur en fruits.
Il convient donc d’éviter un déséquilibre de réglementation entre la France et l’Europe. Cela passe par la protection des cidres français sur le marché ainsi que la reconnaissance d’une valeur spécifique assumée.
La filière cidricole française doit pouvoir continuer à prospérer à l’avenir.